Sandy GiGi CashSandy Cash

* executive woman *

Il fallut attendre le septième accouchement de Mama Cash pour qu’enfin le père Jack voie la lumière : par Jésus Christ et Saint Fred Astaire, enfin il avait une fille ! Évidemment surprotégée par son papa poule, Sandy vécut dans du coton toute sa prime jeunesse, étudiant sans relâche, portant serre-tête, jupes plissées bleu marine et socquettes blanches dans souliers vernis, ne prêtant que peu d’attention à l’incroyable et désordonné tintamarre « musical » que faisaient ses frères au fond de la grange. A force de labeur acharné, à 9 ans et demi Sandy était déjà major de sa promotion au Master Business of Administration de l’université d’Austinas (Cheixas).

Hélas, trois fois hélas… les jeunes filles qui tournent le dos à leur jeunesse subissent le plus souvent un terrible retour de bâton. Sandy s’enticha d’un joli garçon qui s’avéra vite devenir un des plus terribles desperados que le Cheixas ait connu. Il la força entre autres à une brève carrière de danseuse de saloon au One Eyed Jack de Missoula. Le piètre prince pas charmant disparut dans un braquage de banque, mais pas ses mauvaises fréquentations… qui tournèrent un peu trop vite autour de la jolie Sandy. Elle sombra dans l’alcool et les garçons faciles, jusqu’à ce que ses frères, missionnés par le père Johnny désespéré, prennent la situation en mains.Michael par exemple, pria beaucoup pour elle. Les autres employèrent des méthodes plus expéditives.

Toujours est-il que le résultat est là : Sandy réintégra le cocon familial où, entourée de l’amour des siens, elle vécut une véritable renaissance. Elle reprit le chemin de l’Université pour y décrocher en trois semaines un Master business of administration for rock’n’roll bands (MBARNRB). Depuis, en toute logique elle est la cheville ouvrière du groupe de ses frangins. Elle s’occupe de tout et sans elle, point de salut pour les Cash !

Recordwoman du changement de couleur de scalp et médaille d’argent au concours de jet de chapeau de paille de Waldeckas Roussas (Cheixas) en 1998.

The Cash Stevens

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